Béjaïa/Lady Maïtland, conseil d’affaires Algérie-G Bretagne

Citation :: Béjaïa/Lady Olga Maïtland, présidente du conseil d’affaires Algérie-Grande-Bretagne
Une visite toute simple, loin de tout protocole
Pour les deux sujets de sa très Gracieuse Majesté la reine, il s’agit là de vacances studieuses. En effet, outre les visites aux nombreux vestiges historiques et sites pittoresques, le couple a, par monts et vaux, sillonné une bonne partie de la wilaya.

Invitée par le cabinet d’affaires de la lobbying Nord Sud Ventures Algérie, Lady Olga Maïtland, présidente du conseil d’affaires Algérie-Grande-Bretagne et du Commenwealth, présidente du Forum défense et sécurité et consultante auprès de Kroll International, organisme chargé tout spécialement de l’évaluation des risques pays, séjourne à Bgayet depuis le 21 août. Accompagnée de son mari M. Robin Hay, avocat d’affaires à la City (Londres), l’illustre hôte de la cité Hammadite possède une autre corde, et non des moindres, à son arc : elle est leader d’opinion, donc très écoutée auprès tant des autorités que de l’opinion publique britannique. Pour les deux sujets de sa très Gracieuse Majesté la reine, il s’agit là de vacances studieuses. En effet, outre les visites aux nombreux vestiges historiques et sites pittoresques, le couple a par monts et vaux sillonné une bonne partie de la wilaya, à la rencontre de la Kabylie profonde. “ Il n’y a que cette manière qui vaille si l’on veut aller au fond du territoire et se replonger dans des traditions, différentes certes, mais profondément humaines”, nous a confié Olga qui a refusé toute référence à ses nombreux titres.
Donc point de My lady ou de madame à tous les détours de la conversation. Il n’y avait qu’Olga, dans toute son humilité dans toute sa grandeur. Une Olga avide de connaissances sur “ce pays magnifique” pour reprendre ses dires.
C’est ainsi que nous avons été mis à la question sous le regard taquin et espiègle de son Robin de mari. Quitte un peu plus tard à inverser les rôles et à nous transformer en un Fouquier Tinville version soft.
Le couple a visité Seddouk, Sidi Aïch, M’cisna, Gouraya, les monuments de Bgayet sans oublier les moments de recueillement auprès des tombes du cimetière anglais, à quelques encablures d’El Kseur.
Ils se sont longtemps extasiés devant les vestiges romains de Toudja où ils furent conviés à un mariage. Olga accueille simplement mais à bras ouverts et le sourire en prime n’a pas caché son enthousiasme et son ravissement d’avoir été une des nôtres l’espace de quelques heures. Le visage épanoui, la main sur le cou, Olga a promis de faire partager aux siens, là-bas, dans le smog froid des bords de la Tamise et l’atmosphère empreinte de mystère des Highlands d’Ecosse, impressions et convictions. Elle leur apprendra l’Algérie dont, fait insolite, ils ignorent tant, cette terre d’héroïsme, qui relève la tête après avoir affronté la bête immonde. L’Algérie qui n’a rien d’un état théocratique.
L’Algérie des filles aux décolletés négligés et aux maillots deux pièces en bordure de mer.L’Algérie des traditions, l’Algérie de la modernité. Nul doute qu’après, son lobbying aboutira à la reconsidération et à la révision à la baisse du risque Algérie tel que présenté par les autorités britanniques.

DEPECHE DE KABYLIE

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